« Je choisis la French Tech » répond à 4 objectifs : 

1. Renforcer la souveraineté technologique, en répondant aux besoins de transformation numérique, technologique et écologique du tissu économique et des administrations publiques, par une utilisation croissante des solutions françaises de la French Tech, et réduire la dépendance aux solutions étrangères ;
2. Renforcer l’impact économique de l’écosystème French Tech, en maintenant en France la valeur créée (chiffre d’affaires, emplois, sites industriels) par les achats des entreprises et des acheteurs publics ; 
3. Augmenter les revenus des start-up, dans un contexte de financement qui place la rentabilité comme un facteur structurant de développement; 
4. Stimuler l’innovation des start-up en donnant des perspectives de marchés

Objectifs principaux :

• Doubler la commande publique et privée en direction des start-up d’ici 2027
• 500 entreprises partenaires d’ici fin 2023, et 5000 en 2027, qui s’engagent à mettre en place des actions pour augmenter leurs achats auprès des start-up

L’initiative « Je choisis la French Tech » repose sur la mobilisation conjointe de l’écosystème French Tech (Capitales et Communautés French Tech, associations), des acteurs de l’achat public (Direction des achats de l’Etat, ministères, Ugap), des fédérations professionnelles (Afep, CCI France, METI, etc) et d’entreprises (grands groupes, ETI, PME).

Une mobilisation collective de l’écosystème French Tech et du tissu économique pour renforcer l’utilisation des solutions des start-up : 

• 50 associations et fédérations professionnelles s’engagent dans le cadre du plan « Je choisis la French Tech »

• Plus de 200 entreprises se sont engagées : 
  • Les entreprises « partenaires » prennent l’engagement de doubler leurs achats start-up à l’horizon 2027.
  • Les entreprises « soutien » prennent des engagements de moyens (désignation d’un référent start-up, mise en place d’un processus d’achat accéléré, doublement du nombre de start-up référencées en tant que fournisseurs, évènements)

Une mobilisation sur la commande publique avec la Direction des Achats de l’Etat et des actions en préparation de la part de quatre ministères (ministère de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique ; ministère des Armées, ministère de la Transition écologique, ministère de la Justice), du CNES, etc.